Astuceset conseils pour Pâte à choux inratable. Si vous respectez bien toutes les étapes de cette recette, en prenant votre temps pour mélanger la pâte jusqu'à ce qu'elle ne dégage plus de vapeur, cette recette de pâte à choux est inratable. N'y ajoutez surtout pas de levure, qui ferait rater la pâte à choux.
Lesactes de violence à l'encontre des femmes sont réprimés de plus en plus sévèrement en France. Ils donnent lieu à de fortes mobilisations, facilitées par les réseaux sociaux. La parole des femmes se libère peu à peu. Au-delà de la répression des violences, la politique de prévention passe par une action contre les stéréotypes sur les femmes.
3 Malte. Selon les sondés de l'enquête, Malta est la meilleure destination pour travailler à l'étranger. La satisfaction au travail est très haute, et
Dansles cas extrêmes, la violence à l’égard des femmes peut entraîner la mort. Les effets de la violence sont le plus souvent persistants. La violence – sous toutes ses formes – peut avoir des répercussions sur le bien-être d’une femme pour le restant de ses jours. Cela est inacceptable, et on ne peut pas ignorer le risque qui
Ainsi depuis des siècles les femmes se sont mobilisées pour changer le monde grâce à leur force, leur passion et leur détermination. C’est pourquoi nous avons décidé de nous rappeler ce qu’ont accompli des personnalités bien connues et de vous en faire découvrir de nouvelles ! 1. Emmeline Pankhurst.
Lundi8 mars, journée internationale des femmes. Dans les campagnes, le destin des petites Chinoises repose encore sur une longue tradition dominée par les hommes. Mais leur statut évolue
EFOz. Quel pays peut se vanter » d’être le plus infidèle ? Le site de rencontres " dévoile le classement des pays qui comptent le plus d’adeptes de l’adultère. Alors qui sont les rois du monde de infidèle ? Sachez que le numéro un pourrait bien vous suprendre. 10. Les Finlandais 36%En Finlande, l'homme marié ne trompe pas mais il entretient des "relations parallèles". L'enquête révèle qu'un homme sur cinq aurait des relations extraconjugales avec au moins 10 femmes. Un chiffre dix fois moins élevé chez les femmes. Ce n'est donc pas étonnant que nos amis scandinaves apparaissent dans le top 10 des nationalités les plus Les Anglais 36%Est-ce leur irrésistible accent qui pousse les britanniques à aller voir ailleurs ? L'étude ne nous le dit pas mais on sait que l'Anglais est puritain. Les répondants ont admis se sentir terriblement coupables après l'adultère. Pas sûre que ça console certaines, mais c'est déjà ça ! 8. Les Espagnols 39%Connus pour leur tempérament passionné, les Espagnols ne figurent pourtant pas en haut de ce classement. Mais l'étude de montre que la religion catholique influence la vie des hispaniques. L'adultère reste très taboo chez eux comparé à d'autres pays voisin, même si le taux de divorce augmente chaque Les Belges 40%La Belgique n'est pas seulement le pays de la bière et du chocolat ! C'est aussi le pays où l'infidélité est synonyme de d'antidépresseur. D'ailleurs le site de rencontre extraconjugales enregistre 1,1 millions d'abonnés ce qui correspond à 10% de la population en Les Norvégiens 41%Aussi drôle que cela puisse paraître, ce n'est pas durant les longs mois d'hiver que les Norvégiens ont le plus envie de se réchauffer. En effet, Victoria Milan, le site de rencontre destiné aux personnes qui souhaitent s'offrir une petit écart de conduite enregistre une augmentation des inscriptions pendant la saison estivale !5. Les Français 43%C'est LA grande surprise de ce classement. Pour la première fois, les Français ne sont plus les premiers en matière d'infidélité. Oui les Français croient encore à l'amour et pensent sérieusement que l'on peut aimer une personne toute sa vie 63%. So romantic !4. Les Allemands 45%C'est l'autre grande surprise de cette enquête. Qui auraient cru que les Allemands puissent être plus "sexy" que les frenchy ? Selon l'enquête, les Germaniques seraient également des amants plus discrets que les autres mais aussi beaucoup plus ouverts d'esprit. 60% d'entre eux considèrent que l'adultère est un acte moralement Les Italiens 45%Pays de Casanova et surtout de Berlusconi, l'Italie est un pays où l'on divorce peu mais où l'on batifole beaucoup. Comme l'homme allemand, l'homme italien est très fort pour cacher son Les Danois 46%Le Danemark est le pays où l'on est le plus heureux. Mais pas sûr que cela soit lié au taux élevé d'infidélité. L'enquête révèle également que les femmes sont de plus en plus nombreuses à s'inscrire sur le site de rencontre Victoria Milan pour trouver une Les Thaïlandais 56%Qui l'eut cru ? Le récent sondage dévoile que 56% des Thaïlandais ont déjà connu une relation d'adultère. L'étude démontre que ce sont les femmes qui sont les plus infidèles. Elles se classent au deuxième rang derrière les Ghanéennes et devant les Russes et les les positions du Kamasutra
Où applique-t-on le mieux la parité des sexes ? En dehors des pays scandinaves, toujours gagnants au niveau de l’égalité homme-femme, c’est au Rwanda où il fait aussi bon vivre en tant que femme. Rédigé par , le 10 Dec 2016, à 15 h 20 min La dernière étude de 2016 sur la parité entre les sexes dans monde publiée par le World Economic Forum annonce que le Rwanda est le 5e pays le mieux classé, après l’Islande, la Finlande, la Norvège et la Suède. Le Rwanda, un pays atypique qui se reconstruit grâce aux femmes Cette étude de 2016, basée sur les indicateurs économiques, éducationnels, sanitaires et politiques des pays, reflète la qualité de vie des femmes dans le monde1. Des nouvelles du Rwanda Le Rwanda est un très petit pays d’Afrique de l’Est d’environ m², soit 24 fois plus petit que la France, pour une démographie élevée de près de 10 millions d’habitants, dont un million vit dans la capitale Kigali. Le Kinyarwanda, l’anglais et le français sont les trois langues officielles du pays. 35 % de la population est analphabète, légèrement moins que la moyenne en Afrique, qui est de 38 %. Les Hutus, les Tutsis et les Twas, les trois groupes ethniques qui peuplent le pays, parlent néanmoins la même langue, et ont aussi évolué vers les mêmes religions tout en partageant sensiblement les mêmes coutumes. L’État rwandais a conduit un génocide en juillet 1994 pour assurer le pouvoir aux Hutus, responsable de l’extinction d’une grande partie des Tutsis. Le Rwanda, pays des mille collines Avec son calme retrouvé, ses arts préservés, sa nature envoûtante aux paysages très diversifiés où règne encore la vie sauvage, et son histoire passionnante, le Rwanda a fait peau neuve et met tout en oeuvre pour développer son économie, et notamment via le tourisme. Le pays a su pour la première fois, conquérir le coeur de plus d’un million de visiteurs en 2012. Le Rwanda offre sur une très petite surface, un condensé diversifié du continent africain. À l’Est, les animaux sauvages comme les gorilles vivent ensemble dans la savane du parc national Akagera, alors que l’on retrouve à l’ouest la forêt tropicale montagneuse de Nyungwe qui abrite une flore à couper le souffle. La capitale Kigali au centre, offre un paysage moderne, même les routes sont impeccables. Traditionnellement connu pour son tourisme de safari de luxe, le Rwanda a su développer d’autres activités récemment, pour devenir aussi une destination sûre, où les voyageurs itinérants sont les bienvenus. On retrouve aussi maintenant le tourisme sportif, incluant le camping, les randonnées, et le vélo de montagne, qui se développe largement. Autant d’activités très abordables qui font à présent de ce pays, une destination pour tous. Même pour les femmes qui voyagent seules ! Femmes du Rwanda une inspiration dans le monde entier Après le génocide de 1994, le Rwanda a dû se reconstruire rapidement sur de meilleures bases, et a décidé de faire appel aux femmes en politique. Elles ont alors grignoté des parcelles de pouvoir, et petit à petit, se sont intégrées à la vie politique et économique du pays. De fait, elles sont aujourd’hui les propriétaires de 41 % des entreprises rwandaises, et représentent 64 % des sièges au Parlement, soit le pourcentage le plus élevé au monde, alors que la moyenne mondiale est d’environ 15 %. Même s’il reste beaucoup de progrès à faire en termes de discrimination des femmes à l’extérieur du Parlement, leur émancipation s’est largement accélérée depuis une vingtaine d’années, et il est désormais plus facile de faire adopter des lois dans le domaine de l’éducation ou de la santé des femmes. Grâce à cette très forte représentativité féminine au Parlement, quelques années seulement après le drame meurtrier, le Rwanda, au coeur de ce continent si controversé qu’est l’Afrique, a réussi à grandement améliorer son image sur la scène internationale, et devrait être une plus grande source d’inspiration pour le reste du monde. A lire aussi Le commerce équitable, bon pour les droits des femmesSaviez-vous que l'Afrique bouge en matière d'écologie ? La parité homme-femme sera effective dans 170 ans Références The Global Gender Gap Report 2016 World Economic Forum consoGlobe vous recommande aussi... Rédigé par Charlotte De nature très curieuse et volontaire, deux choses me passionnent. La première est la permaculture, que j'ai découvert d'abord dans les livres, puis durant... Voir sa fiche et tous ses articles Devenir rédacteur
Après la décision de la Cour suprême des États-Unis vendredi dernier, les députés de la Nupes et ceux du groupe Renaissance ont déposé une proposition de loi pour inscrire le droit à l'avortement dans la Constitution. Le but consacrer symboliquement et protéger ce droit en cas de changement d'équilibres politiques. En France, environ une femme sur trois a recours à une interruption volontaire de grossesse IVG dans sa vie."La fécondité n'est pas quelque chose qui se maîtrise à 100%""Le nombre d'IVG en France et remarquablement stable, il a un petit peu diminué ces dernières années, mais on est toujours au-dessus de IVG par an, ce qui, dans un pays où la contraception est quand même relativement facile d'accès et gratuite dans certains cas, veut bien dire que la fécondité n'est pas quelque chose qui se maîtrise à 100%", explique Ghada Hatem, gynécologue obstétricienne, fondatrice de la Maison des femmes de grossesse sur quatre est interrompue volontairement et cela concerne en majorité des femmes âgées de 20 à 29 ans, indique Magali Mazuy, chercheuse à l’Institut National d’études démographiques, en charge des statistiques sur l’avortement. "Ces jeunes femmes entrent en sexualité plus tôt, avec davantage de ruptures, davantage de remises en couple, des aventures hors du couple, potentiellement sans contraception. C’est cette diversification grandissante du parcours de vie des femmes qui implique qu’elles sont plus souvent soumises au risque de grossesse imprévues, qu’elles soient sous contraception ou pas", rejet de la pilule et des traitements hormonaux au profit d’une contraception plus naturelle augmente aussi le risque de grossesse non reste un choix souvent douloureux aux raisons multiples accident de contraception, précarité financière, problème de santé... "Les femmes ont et auront probablement toujours besoin d'avorter un jour ou l'autre, mais ça touche toutes les catégories sociales, tous les âges, tous les métiers", certifie Ghada Hatem."La seule spécificité qu'on pourrait observer, ce serait les femmes qui arrivent en limite de délai ou délai un peu dépassé. Ce sont en général des femmes qui ont eu des parcours de violence, des parcours de précarité qui ont eu du mal à se décider tôt. Mais toutes les autres, la plupart des femmes, dans 95% des cas, se décident très tôt, quel que soit leur profil", détaille la gynécologue médicamenteuse représente 72% des casLes trois territoires où l’on enregistre le plus d’avortements sont l’Île-de-France où les professionnels de santé spécialisés sont plus nombreux et accueillent un quart des interventions, devant la région Rhône-Alpes et le Sud-Est. Un recours à l’IVG qui est multiplié par 40 dans les catégories sociales médicamenteuse qui consiste à prendre deux comprimés différents pour déclencher l’accouchement, le plus souvent dans les toutes premières semaines de grossesse, représente 72% des cas. L’avortement chirurgical par aspiration, qui peut se pratiquer jusqu’à 14 semaines de grossesse, est quant à lui en diminution à des campagnes de prévention et un accès facilité à la pilule abortive du lendemain, les jeunes filles encore mineures ont de moins en moins recours à l’IVG.
Le site de rencontres extra-conjugales Victoria Milan révèle le top 20 des pays où les femmes ont le plus désir sexuel. Où se placent les Françaises ? Réponse dans le StockLe désir sexuel est propre chaque femme et évolue au fil des années, des rencontres... et même des pays selon une étude menée par le site de rencontres extra-conjugales Victoria Milan. Après avoir interrogé des femmes membres, le site montre ainsi que les Nordiques sont plus coquines que les autres !Selon Sigurd Vedal, PDG et Fondateur de Victoria Milan, la libido des femmes augmente selon leurs standards de vie. Plus elles ont une vie aisée et confortable, plus elles apprécient le sexe. Or "les pays Scandinaves sont globalement reconnus pour leurs niveaux de vie incroyables. Les soins de santé, les conditions de vie et les opportunités de carrière sont parmi les meilleurs du monde."Top 20 des pays où les femmes reconnaissent avoir du plaisir et du désir en ce qui concerne le sexe Finlande 79%Suède 78%Danemark 76%Norvège 76%Irlande 75%Pologne 73%Portugal 73%Royaume-Uni 72%Italie 72%Allemagne 71%Espagne 71%Australie 71%Afrique-du-Sud 70%Suisse 70%États-Unis 69%Autriche 69%Pays-Bas 65%Belgique 60%France 53%République Tchèque 47%Parmi toutes les répondantes, certaines ont confié avoir un appétit sexuel plus élevé que la moyenne, s'approchant parfois de la exemple 39% des Suédoises estiment avoir un désir sexuel plus élevé que les autres femmes, 35% des Norvégiennes, 34% des Italiennes et des Danoises, 33% des Portugaises et 30% des derrière, seules 21% des femmes françaises interrogées pensent aimer plus le sexe que les de presse Victoria Milan, "Révélation les nationalités des femmes les plus attirées par le sexe", 13 juin 2017Notre NewsletterRecevez encore plus d'infos santé en vous abonnant à la quotidienne de adresse mail est collectée par pour vous permettre de recevoir nos actualités. En savoir plus.
Introduction Le terme sexe» correspond aux caractéristiques biologiques qui différencient les hommes et les femmes. Le terme genre» désigne, lui, les constructions sociales associées aux femmes et aux hommes normes, rôles, pouvoir et relations, par exemple. L’inégalité entre les sexes est l’une des causes des résultats de santé inéquitables qu’obtiennent les femmes et les filles. Petite enfance et enfance 0-9 ans La prématurité, l’asphyxie à la naissance et les infections sont les principales causes de décès lors du premier mois de vie. Au cours de la petite enfance et de l’enfance, les causes de décès sont identiques pour les deux sexes. Toutefois, dans certaines cultures, les discriminations fondées sur le sexe portent préjudice aux filles, et l’on observe des pratiques telles que l’avortement sélectif et l’infanticide féminin. On estime que 18 % des filles sont victimes d’abus sexuels au cours de leur enfance, contre 8 % chez les garçons.[9] Dans certains cas, l’accès aux vaccins, aux services de soins et à une alimentation équilibrée est plus difficile pour les filles que pour les garçons.[10] Par ailleurs, la préférence pour les fils peut avoir comme conséquence une réduction de la période d’allaitement exclusif des filles. Adolescence 10-19 ans À l’adolescence, les différences entre les sexes deviennent plus visibles et les normes fondées sur le sexe commencent à apparaître. À l’échelle mondiale, les principales causes de décès chez l’ensemble des adolescents sont les accidents de la route, les conduites auto-agressives et la noyade. Chez les adolescentes âgées de 15 à 19 ans, les principales causes de décès sont les affections maternelles, les conduites auto-agressives, les accidents de la route, les maladies diarrhéiques et les infections des voies respiratoires inférieures.[11] Les troubles dépressifs liés à l’auto-agression et au suicide sont des problèmes de santé majeurs chez les adolescentes. Les adolescentes ont plus de risques d’être victimes d’abus sexuel et sont également confrontées à des pratiques préjudiciables comme le mariage des enfants et les mutilations sexuelles féminines. La plupart des filles deviennent sexuellement actives pendant l’adolescence. Elles sont souvent contraintes ou forcées d’avoir des relations sexuelles et sont victimes d’autres formes de violence sexiste. Chaque année, environ 15 millions de filles sont mariées avant l’âge de 18 ans.[12],[13],[14],[15] Le mariage des enfants a de lourdes conséquences sur leur niveau scolaire et sur celui de leurs enfants.[16],[17],[18] Chaque année, environ 16 millions de filles âgées de 15 à 19 ans et quelque 1 million de filles de moins de 15 ans donnent naissance à un enfant, principalement dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. On estime que 3 millions d’avortements non sécurisés sont pratiqués chaque année dans le monde dans cette tranche d’âge. Les adolescentes et les jeunes femmes représentent deux nouveaux cas sur trois d’infections à VIH dans le monde.[19] L’anémie ferriprive représente une part importante des années de vie ajustées sur l’incapacité DALY chez les adolescentes. De plus en plus, des problèmes nutritionnels pendant l’enfance et l’adolescence entraînent surpoids et obésité, lesquels peuvent accroître le risque de décès prématuré et de handicap à l’âge adulte.[20] Les troubles du comportement alimentaire sont plus répandus chez les filles. L’anorexie mentale est le trouble le plus fréquent et son taux de mortalité est le plus élevé parmi l’ensemble des troubles mentaux.[21] Les adolescentes consomment de plus en plus de tabac, d’alcool et d’autres drogues, ce qui peut nuire à leur santé pendant cette période de leur vie et ultérieurement, ainsi qu’à la santé de leurs enfants.[22] L’âge de la procréation 15-49 ans et les femmes adultes 20‑59 ans Chez les femmes âgées de 15 à 49 ans, le VIH et la tuberculose sont des risques majeurs pour la santé. Les affections liées à la grossesse, à l’accouchement et au post-partum constituent une source importante de morbidité et de mortalité. Chaque jour, environ 830 femmes en âge de procréer meurent de complications obstétriques.[23] Les affections maternelles, notamment la dépression périnatale, la fistule obstétricale et d’autres complications liées aux actes obstétricaux, sont 20 fois plus fréquentes que les décès maternels. L’accès à des méthodes de contraception sûres et efficaces, ainsi que leur contrôle, permettent d’éviter des grossesses non désirées et d’espacer correctement les naissances. Les principales maladies non transmissibles sont les premières causes de mortalité et d’incapacité chez la femme adulte. Les femmes risquent aussi davantage que les hommes d’être atteintes de dépression et d’anxiété. La dépression du péripartum et du post-partum ont de graves répercussions sur les femmes et leurs enfants. Dans le monde, les cinq cancers les plus répandus chez les femmes sont le cancer du sein, celui du poumon, le cancer colorectal, le cancer du col de l’utérus et celui de l’estomac. Influencés par les normes sexospécifiques, la consommation de tabac, l’exposition au tabagisme passif et l’emploi de combustibles solides pour préparer les repas sont les premiers facteurs de risque de la bronchopneumopathie chronique obstructive BPCO et du cancer du poumon.[24] La lombalgie, la cardiopathie ischémique, l’accident vasculaire cérébral et les troubles dépressifs majeurs sont les principales causes de DALY chez les femmes âgées de 45 à 59 ans. Concernant les maladies cardiovasculaires, des données indiquent que les femmes ont tendance à être diagnostiquées et soignées plus tardivement que les hommes, et de manière moins active. La violence au sein du couple est l’une des formes les plus répandues de violence contre les femmes.[25] Elles a de profondes conséquences sur la santé physique, sexuelle, reproductive et mentale des femmes de 60 ans et plus Le vieillissement en bonne santé se définit par un bon état de santé et de bien-être et une absence de stigmatisation ou de discrimination. Les cardiopathies, les accidents vasculaires cérébraux et les pneumopathies chroniques constituent les premières causes de mortalité chez les femmes de cette tranche d’âge, où qu’elles vivent. Les taux de traumatismes chez les femmes de plus 65 ans sont beaucoup plus élevés que chez les hommes, ce qui s’explique par les chutes dont elles sont victimes et qui peuvent être liées à l’ostéoporose et à d’autres affections chroniques sous-jacentes.[26] La démence est plus fréquente chez les femmes que chez les hommes dans cette tranche d’âge. En raison d’une espérance de vie plus longue et des normes sexospécifiques dominantes, les femmes jouent généralement le rôle d’aidant pour leurs partenaires masculins et les autres membres de la famille en fin de vie. Couverture sanitaire universelle et développement durable La santé est un droit fondamental de la personne humaine et l’instauration de la couverture sanitaire universelle, avec une protection contre l’appauvrissement, est un fondement nécessaire pour atteindre les objectifs de développement durable ODD liés à la santé. En entend par couverture sanitaire universelle la situation dans laquelle toutes les personnes bénéficient des services de santé dont elles ont besoin sans connaître de difficultés financières. Les hommes et les femmes se trouvent dans une situation différente. Le paiement direct par l’usager peut ainsi fortement entraver l’accès aux soins de santé pour les femmes veuves et les femmes cheffes de famille. Le changement climatique et environnemental a des répercussions différentes sur la santé des hommes et des femmes. Les femmes et les filles sont davantage exposées aux facteurs de risque environnementaux tels que l’eau contaminée et la pollution de l’air à l’intérieur des habitations. Elles risquent aussi davantage de mourir pendant les catastrophes naturelles et sont plus vulnérables pendant les crises humanitaires elles sont par exemple fréquemment victimes de viol, sont plus exposées à la violence au sein du couple et au trafic, et peuvent souffrir d’un accès insuffisant aux soins de santé essentiels. La plupart des femmes ne bénéficient toujours pas de soins de santé complets tout au long de la vie, et il faut agir d’urgence. En adoptant une approche de la santé centrée sur la personne, tout au long de la vie, les femmes et les filles deviennent actrices de leur santé. Les femmes contribuent à la santé plus qu’à tout autre secteur et doivent être reconnues et valorisées en conséquence. La lutte contre les préjugés sexistes et les inégalités entre les sexes chez les personnels de santé et chez les travailleurs sociaux est essentielle pour instaurer la couverture sanitaire universelle et atteindre les objectifs de développement durable. Action de l’OMS L’OMS s’efforce d’améliorer la santé des femmes en renforçant la fourniture de tous les services et l’accès à ceux-ci. Cette action recouvre les problèmes de santé sexuelle et reproductive, tels que les soins maternels, mais aussi l’accès aux services intégrés de lutte contre le VIH et la tuberculose, et la prévention de la violence sexiste, des maladies cardiovasculaires, du cancer, du diabète, de la démence et de l’obésité. L’OMS s’attache également à réduire les facteurs de risque, à promouvoir la santé mentale et à améliorer la vie des femmes handicapées. En collaboration avec les États Membres, l’OMS renforce la capacité des prestataires de soins de santé et du système de santé à combattre la violence contre les femmes et les abus sexuels sur les enfants et les adolescents, par la mise en œuvre du Plan d’action mondial visant à renforcer le rôle du système de santé pour lutter contre la violence, en particulier à l’égard des femmes et des filles et à l’égard des enfants. Plan d’action mondial visant à renforcer le rôle du système de santé dans une riposte nationale multisectorielle à la violence interpersonnelle, en particulier à l’égard des femmes et des filles et à l’égard des enfants L’OMS s’efforce d’améliorer la mesure des indicateurs de la santé sexuelle et reproductive dans les pays, notamment la mortalité et la morbidité maternelles, l’avortement, et la violence contre les femmes. L’OMS collabore avec les États Membres pour accélérer les efforts afin d’améliorer la santé et le bien-être des femmes, des enfants et des adolescents, par la mise en œuvre de la Stratégie mondiale pour la santé de la femme, de l’enfant et de l’adolescent 2016-2030. Stratégie mondiale pour la santé de la femme, de l’enfant et de l’adolescent 2016-2030 - en anglais L’Organisation soutient pleinement les principes du mouvement Chaque femme, chaque enfant», y compris dans les contextes humanitaires et les autres situations d’urgence sanitaire, en menant des programmes qui tiennent compte des questions de genre. Chaque femme, chaque enfant - en anglais L’OMS renforce son action face aux violences sexistes dans les situations d’urgence, au moyen de formations et en sensibilisant les populations des pays, avec des mesures opérationnelles et des travaux de recherche. L’OMS collabore avec des organisations professionnelles, le monde universitaire et les États Membres afin que chaque femme bénéficie d’une expérience positive de l’accouchement », dans le respect et la dignité, en la faisant participer aux décisions concernant les soins qu’elle reçoit pendant la phase de travail et l’accouchement. L’OMS s’efforce d’améliorer la santé des femmes âgées et s’attache tout particulièrement à mettre en œuvre les cinq priorités stratégiques de la Stratégie et du plan d’action mondiaux sur le vieillissement et la santé 2016-2020, tout en renforçant les systèmes de santé et les systèmes de soins de longue durée pour les personnes âgées, dans lesquels les femmes représentent la majorité du personnel de santé. L’OMS apporte un soutien aux États Membres conjointement avec le Bureau international du travail BIT et l’Organisation de coopération et de développement économiques OCDE afin de promouvoir l’élaboration, le financement et la mise en œuvre de stratégies de transformation pour supprimer les biais et les inégalités liés au genre chez les personnels de santé et les travailleurs sociaux. Références[1] Depression and Other Common Mental Disorders Global Health Estimates. Geneva World Health Organization; 2017. Licence CC BY-NC-SA IGO. available at [2] [3] [5] [6] [7] [8] [9] Stoltenborg M, van Ijzendoorn MH, Euser EM, Bakermans-Kranenberg MJ. A global perspective on child sexual abuse meta-analysis of prevalence around the world. Child Maltreat. 2011; 16279-101. [10] “Gender influences on child survival, health and nutrition a narrative review”. United Nations Children’s Fund UNICEF, with the Liverpool School of Tropical Medicine. December 2011”. [11] WHO. Global health estimates 2015 deaths by cause, age, sex, by country and by region, 2000-2015. Geneva, 2016. [12] UNICEF. State of the World's Children 2016. New York UNICEF;2016. [13] Ganchimeg T, Mori R, Ota E, et al. Maternal and perinatal outcomes among nulliparous adolescents in low- and middle-income countries a multi-country study. BJOG an international journal of obstetrics and gynaecology. 2013;120131622-1630; discussion 1630. [14] Erulkar, A. Early marriage, marital relations and intimate partner violence in Ethiopia. Int Perspect Sex Reprod Health. 2013; 39 6–13. [15] Nasrullah, M., Zakar, R., and Zakar, Child marriage and its associations with controlling behaviors and spousal violence against adolescent and young women in Pakistan. J Adolesc Health. 2014; 55 804–809. [16] Wodon QT, Male C, Nayihouba KA, et al. Economic impacts of child marriage Global synthesis report. Washington DC World Bank Group; 2017. [17] Sheehan P, Sweeny K, Rasmussen B, et al. Building the foundations for sustainable development a case for global investment in the capabilities of adolescents. Lancet London, England. 2017;390101041792-1806. [18] UNESCO. Early and unintended pregnancy and the education sector Evidence review and recommendations. Paris UNESCO; 2017. [19] [20] [21] [22] [23] [24] Gender, Women and the tobacco epidemic 2010. [25] [26]
dans quel pays les femmes sont les plus faciles